Témoignages Témoignages BAC+5

Témoignages BAC+5
–Pourquoi avoir choisi SUP’DE COM ? J’ai choisi SUP’DE COM car le Bac+5 proposé est spécialisé dans la compétence que j’avais envie d’acquérir: c’est-à-dire la stratégie et le management de la communication digitale. Après avoir suivi un parcours commercial et généraliste puis m’être spécialisée dans la communication, je souhaite être la plus polyvalente possible pour me donner toutes les chances de trouver un emploi. – Avez-vous des activités extra-scolaires ? Sport, association, hobbies … Je fais de la course à pieds, du tennis et j’aime la musique notamment le chant et le piano que je pratique depuis l’enfance. Je m’intéresse beaucoup au cinéma et à la presse spécialisée de celui-ci. – Comment vous voyez-vous dans 10 ans ? L’emploi de vos «rêves» ? A l’origine je m’imaginais enseignante, donc je me suis longtemps projetée dans l’enseignement. Depuis quelques années seulement je me vois dans la communication. Mon emploi de rêve serait d’être responsable communication dans un hôpital ou un établissement de santé ou alors j’aimerais travailler dans la communication dans un cinéma. – Racontez-nous un moment fort au sein de l’école Chaque lundi lorsque je retrouve ma classe avec laquelle je partage de forts moments de complicité. – Un dicton favori : « Choisir, c’est renoncer » – Pourquoi avoir choisi un parcours en alternance ? Pour ma dernière année d’études, je voulais mettre un pied concrètement dans le monde du travail (hors stage). La rémunération est évidemment une motivation lorsque l’on valide un diplôme supplémentaire. De plus, l’alternance permet d’apprendre continuellement et d’appliquer ses connaissances théoriques en entreprise, à l’inverse partager et analyser les problématiques de l’entreprise à l’école. Un parcours en alternance permet de prendre confiance en soi et de se familiariser avec les responsabilités. -Quel poste occupez-vous et quelles sont vos missions ? Je suis assistante d’exploitation régionale et chargée de communication chez IMMOCHAN, l’immobilière du groupe AUCHAN. J’assiste les responsables d’exploitation (qui gèrent en partie les animations, la communication, l’état de propreté et les relations avec Auchan, des centres commerciaux). Je co-manage les agences de communication avec lesquelles nous travaillons pour les différentes galeries marchandes (15 en tout dans notre secteur). -Racontez-nous un moment fort au sein de votre entreprise (une anecdote, un compliment…) J’ai la chance d’avoir des supérieurs et une tutrice très pédagogues et reconnaissants. Nous avons déjà eu plusieurs repas d’entreprise (synergies, repas de noël), des rires, du travail, des projets. En trois mois il est difficile de ressortir un seul et unique moment fort. Un dicton de notre équipe de travail «Vendredi, tout est permis».

Roxane Magnin, étudiante en Bac+5 à SUP’DE COM – Bordeaux

• Parlez-nous de votre métier ?Je suis commerciale en espaces publicitaires. Le titre de Directeur de clientèle est très utilisé dans le milieu tout simplement car nous gérons les comptes clients de A à Z : pige, prospection, prise de RDV, présentation de notre société et de nos produits. Vient ensuite l’étape de la vente : réalisation des devis, signature, choix du meilleur prestataire (graphiste, imprimeur, poseur, diffuseur…), gestion des délais et budgets, et enfin, suivi du client : rapport de campagne, RDV de débriefing, suivi des besoins et fidélisation. • Quel a été votre parcours ?Avant d’intégrer SUP’ DE COM, j’ai passé 2 ans en DUT Tech de Co puis une année de spécialisation au marketing international réalisée en Irlande. En fin de DUT j’ai découvert l’évènementiel lors d’un stage en agence. Et en Irlande j’ai réalisé une opération de sensibilisation aux problèmes environnementaux. C’est cette action qui m’a lancée dans le milieu de la communication puisque nous avons obtenu de bonnes retombées presse, la reconnaissance de nos partenaires et même des passants dans la ville !Revenue bilingue et convaincue des effets de la communication, j’ai intégré SUP’ DE COM et réalisé divers stages. Puis je suis allée en agence à la fin de mes études où j’ai eu la chance de signer un contrat immédiatement. Après plus de 2 ans en tant que chef de projets dans l’évènementiel, j’ai intégré une association en lancement en tant que chargée de communication. • Présentez-nous votre entreprise ?Com’Unique est une régie publicitaire spécialiste du média de proximité depuis 2001. A l’origine, nous commercialisons uniquement de l’affichage dans les toilettes des bars, restaurants, boites de nuit… L’idée de suivre le consommateur dans ses loisirs a ensuite été déclinée sur une dizaine de supports, en indoor et en outdoor. L’objectif étant bien sûr de continuer notre croissance sur un plan national via notamment le lancement de nouveaux produits. • Depuis combien de temps occupez-vous cette fonction ?Depuis janvier 2008. • Quelles sont vos missions ?Mes missions sont très variées et dépendent aussi de ma volonté de développer mon activité et l’entreprise. Chaque directeur de clientèle gère sa fonction comme bon lui semble, l’essentiel, c’est le chiffre d’affaires ! En ce qui concerne le développement, je suis en permanence à la recherche de nouvelles idées ou de nouveaux prestataires. Enfin, j’ai un rôle d’accompagnement et de formation auprès des stagiaires et nouveaux arrivants dans l’entreprise. • Quels sont les avantages et les contraintes de votre métier ?Comme vu dans le point précédent, j’ai une marge de manœuvre importante dans la façon de gérer mon poste, mes clients, mon CA… J’ai donc cette latitude dans mon emploi du temps. Cette autonomie est un confort tout en étant un levier de pression : si un matin je ne me lève pas pour aller travailler ou si j’éternise ma pause shopping entre deux rendez-vous, ça sera au détriment de mon travail de prospection et donc de mes résultats. Le premier des avantages reste la rémunération basée sur un système d’intéressement très motivant. Et la contrainte principale est de toujours se remettre en question pour aller à la recherche de nouveaux annonceurs, ne pas s’endormir sur ses lauriers !

Marie-Laure G., Directrice de clientèle chez Com’Unique

Après avoir terminé son Bac+5 Management de la Communication en alternance à La Poste, Cécilia CONTE s’est vu offrir un emploi en CDD chez Patte Blanche – Agence de Communication responsable. La particularité de cette prise de poste vient du fait que Cécilia a été embauchée suite à sa thèse professionnelle. Retour sur sa prise de poste chez Patte Blanche et sur ses années à SUP’DE COM… Quel poste occupez-vous aujourd’hui chez Patte Blanche ? « Je suis Chef de Projet. » Comment avez-vous obtenu ce poste ? « L’une des associées de l’agence Patte Blanche, Charlotte Arnal, était ma tutrice de thèse professionnelle. » Quelles sont vos missions ? « Je gère des dossiers clients de la prise de brief jusqu’au rendu final, en passant pas toutes les étapes de création et de production, si besoin, ainsi que la gestion administrative. » Quels sont vos projets à la fin de votre CDD ? « Dans l’idéal être renouvelée ! Si ce n’est pas le cas j’aimerais trouver à nouveau un poste dans le domaine de la communication dite responsable, en agence ou en entreprise peu importe. » Quelques mots sur SUP’DE COM ? « Je n’ai fait que mon Bac+4/+5 chez SUP’DE COM, donc seulement deux ans. Ce que j’en retiens c’est surtout le caractère humain du campus de Montpellier. L’essentiel des professeurs et encadrants se sentent concernés par les élèves et ce non seulement sur un plan professionnel mais aussi personnel. De plus ce n’est qu’une fois qu’on en est sortie qu’on se rend compte que les dossiers et Open Com qui nous embêtaient tant sont finalement bien utiles ! Comme dans toutes les écoles on se plaint de choses et d’autres car tout n’est pas parfait, mais finalement je suis très contente d’être passée par cette école et espère pouvoir garder contact avec ceux qui m’ont permis de devenir une professionnelle de la communication ! »

Cécilia CONTE, ancienne étudiante à SUP’DE COM Campus de Montpellier – Promo 2014-2015

Après l’obtention d’un Bac+5 Management de la communication stratégique et commerciale sur le campus de Montpellier en 2014, Kim Nguyen est aujourd‘hui en poste chez les Cafés Bibal, artisan torréfacteur depuis 1955, à Saint Aunès en qualité de Chargée de communication & du développement de l’image de marque sur le secteur BtoC… Kim, pouvez-vous nous expliquer en quoi consiste votre travail ? Quelles sont vos missions au quotidien ? « Au départ, j’étais chargée du développement de l’image de marque et du e-commerce de Cafés Bibal pour les particuliers. J’ai donc effectué une refonte totale des sites web de l’entreprise, mis en place un blog, du Community Management… Rapidement, je me suis rendue compte que l’entreprise avait besoin d’une personne qui puisse soutenir le Directeur Marketing sur ses tâches quotidiennes. Mes missions quotidiennes se sont finalement éloignées du travail sur le web pour être d’avantage opérationnelles sur le print (PLV, affiches…) mais aussi sur des problématiques plus globales comme revoir le système de fidélisation, la culture de marque, collaborer sur de nouveaux design packaging… » Quels conseils donneriez-vous aux étudiants de SUP’DE COM ? « Le milieu de la communication est vaste… à chaque discipline ses conseils. Si vous souhaitez devenir communicant pour une PME comme Cafés Bibal, voici les conseils que je peux vous donner : Etre patient ! Vous avez des idées, de très bonnes idées qui ne verront pas le jour, ou du moins pas tout de suite. Il faudra savoir être patient et avancer au rythme de l’entreprise (frustrant ? OUI) ; Être malin : pour une PME les idées c’est bien, l’opérationnel c’est mieux. Apportez du ROI dans un premier temps, après quelques succès l’entreprise vous fera confiance pour mettre en place les idées stratégiques que vous avancez ; Être polyvalent : Les PME ont davantage besoin de boîtes à outils que de spécialistes. Avoir des compétences en graphisme, webdesign, développement de sites (ex: WordPress), montage vidéo… est un réel plus. Être sûr(e) de vous : La communication est un poste qui est souvent mal compris (« … il est payé à dessiner toute la journée »). N’attendez pas une reconnaissance immédiate. Réalisez un travail dont vous êtes fier(e) et qui est reconnu par vos pairs Ouvrez-vous, différenciez-vous et allez contre les codes. » Quelques mots sur SUP’DE COM ? « SUP’DE COM m’a aidée à cultiver et à assumer ma différence en soutenant mes recherches et mes projets, même quand ils sortaient du cadre. J’ai eu le sentiment d’être écoutée et entièrement comprise tout au long des deux années que j’ai passé au sein de l’école. »

Kim Nguyen , ancienne étudiante sur le campus de Montpellier – Promo 2014

Miléna, quels ont été vos atouts pour décrocher ce poste ? Je pense que mes atouts pour décrocher ce poste ont été mon expérience associée à ma formation. Grâce à l’alternance mais aussi à mes différents stages. Avant ça, j’ai pu acquérir une solide expérience professionnelle. La diversité des expériences professionnelles permet de mieux appréhender le marché du travail et donc je pense, d’être plus à l’aise dans une démarche de recrutement surtout pour un recruteur qui recherche une personne capable de travailler en autonomie. Comment appréhendez-vous ce nouveau poste et les missions qu’il comporte ? Je suis très enthousiaste concernant mes nouvelles fonctions étant donné qu’elles concernent un secteur de la communication que j’ai toujours aimé pratiquer : l’événementiel. Je vais exercer des fonctions plus opérationnelles dans l’événementiel qui passe par de la création visuelle, de nombreuses relations avec les prestataires de services, la gestion d’invitation, de la veille entre autres… Cela rajoute une spécificité à mon parcours et je suis contente, c’est un nouveau challenge professionnel. Comment vivez-vous le passage de la « vie étudiante » à la « vie active » ? Ah c’est une bonne question ! Sans vouloir être négative, il est difficile même si heureusement j’ai eu 3 ans d’alternance qui m’ont déjà permis de m’adapter à la vie professionnelle. C’est une sensation étrange car depuis tout petit, vous êtes rythmés par votre scolarité, sauf que cette fois il n’y aura plus de rentrées scolaires… Et quelque part les périodes d’école nous permettaient de « respirer » par rapport à nos problématiques professionnelles même si il y a beaucoup de travail aussi !! Avez-vous des projets pour la suite ? Ou bien, dis autrement : Où est-ce que vous vous voyez dans 5 ans ? Pour le moment je vais prendre mes marques dans mes nouvelles fonctions et j’espère y faire un petit bout de chemin. Après, dans 5 ans j’espère être toujours dans le milieu de la communication, mais je n’arrive pas encore à savoir où je voudrais être. Je profite de l’opportunité présente 🙂 Pouvez-vous donner le secret de votre formule magique pour les futurs SUPDECOMiens qui vont se retrouver à votre place dans un futur proche ? Alors avant d’arriver sur le marché du travail, ne négligez pas les cours surtout le Bac+5 qui est une année difficile et cruciale. Dites-vous que vous n’avez pas fait tout ce chemin pour baisser les bras et que c’est la dernière ligne droite, même si elle est longue et semée d’embûches comme la thèse professionnelle ! Ecoutez bien les conseils que l’on vous donne et essayez de vous imposer une rigueur sur le travail à fournir pour ne pas se sentir débordé par les nombreux dossiers à rendre … Et puis quand vous serez sur le marché du travail utilisez vos atouts, votre personnalité dans votre recherche d’emploi. N’ayez pas d’apriori sur tel ou tel secteur, on peut parfois être surpris, et c’est l’avantage du monde de la communication : on peut s’amuser, être créatif et productif dans n’importe quelle entreprise. Soyez ouvert d’esprit, je pense que c’est la clé pour réussir dans la communication! Bon courage à tous 🙂

Miléna Gruat, Promo 2015

Après une licence d’Art à la Sorbonne, Perle Arteta a obtenu son Bac+4 a SUP’DE COM puis est partie au Canada faire son Bac +5 dans une université de Montréal. Une fois son Bac+5 Québécois terminé, elle part pour Toronto afin de commencer à travailler dans la publicité. Après avoir travaillé dans des agences renommées (BBDO du groupe Omnicom, Publicis, Cosette – agence indépendante au Canada), elle évolue aujourd’hui au sein de Grey (groupe WPP). Parlez-nous de votre position de Freelance à Toronto, comment avez-vous réussi à vous lancer ? Disons que le mot clé quand on s’expatrie c’est « adaptation ». Être Freelance n’a jamais vraiment été mon but mais au Canada les agences de publicité et le système d’embauche sont vraiment très différents de la France. Je suis uniquement Freelance pour les mois qui viennent car cette année, j’ai reçu un nouveau statut de Résidente Permanente au Canada. Avant cela j’étais employée par des agences sous visas avec l’équivalent d’un CDI français. L’agence pour laquelle je travaille actuellement est déjà en préparation d’un contrat permanent pour moi, dès que les détails de mon immigration seront finalisés. En quoi consiste votre activité ? Je suis Directrice Artistique dans une agence de publicité. Il y a des directeurs artistiques dans beaucoup de domaines mais en publicité il a un rôle très particulier. Pour expliquer la profession avec des références culturelles : si vous avez plus de 40 ans, je suis Jean-Pierre le mari de Ma Sorcière Bien-Aimée et si vous avez moins de 40 ans, ou un goût prononcé pour la folie de Frédéric Beigbeder, je suis Jocelyn Quivrin dans 99 Francs. En un paragraphe, en agence de publicité, un directeur artistique travaille de pair avec un concepteur rédacteur. Le duo a pour mission de penser, créer et vendre un contenu publicitaire. Une fois vendu à un annonceur, il doit diriger et superviser sa création – ou production – en sélectionnant designers, illustrateurs, réalisateurs, acteurs, monteurs, etc. Le directeur artistique a le premier et le dernier mot sur l’aspect visuel d’une publicité. Sur quel(s) projet(s) travaillez-vous actuellement ? Beaucoup et tous très divers, c’est pourquoi j’ai choisi cette voie. Aujourd’hui si je dois regarder mon agenda et citer les projets sur lesquels je travaille simultanément : je produis un spot TV, plusieurs campagnes digitales et suis en processus de création d’une campagne d’affichage pour Noël diffusée dans les Caraïbes, une action de relation publique pour un organisme de charité… Oh et demain on enregistre un spot radio pour une marque pharmaceutique. Votre journée type à Toronto ? Il n’y a pas de journée type. Un jour on est en casting, le lendemain en tournage, la semaine d’après en agence cloitré dans une salle de brainstorm pendant des heures, les weekends dans des galas de promotions… La seule chose « type » c’est le bisou à mon chat et mon petit ami avant de quitter mon appartement le matin, et le sourire aux lèvres sachant que j’ai trouvé ma voie et que j’adore mon boulot. Pour qualifier votre année à SUP’DE COM : – Un mot ? SOUPEDECOMlesrencontresetlesamis (si c’est collé, ça compte pour un seul mot oui?) – Un titre de chanson ? Tina Turner – What’s love got to do with it (je précise que je ne suis pas une ancienne de la promo 1985) – Un plat ? Un plat? Mais on se battait pour savoir si on pouvait emprunter la voiture de quelqu’un de notre promo pour aller au Quick du coin ! Pour la jouer « oui on mangeait bien et équilibré » je citerai les plats de Laura, parce qu’on a toujours un(e) ami(e) qui mange tellement bien et équilibré que son assiette est juste remplie de graines. – Le meilleur moment de l’année ? Les moments où on nous demandait d’être créatif et de créer nos propres campagnes fictives. Mais surtout les moments après les présentations et les projets où on pouvait tous se dire que ça paraissait insurmontable, mais qu’on l’avait fait. – Le cours que vous avez préférée ? Prends un cours de Laurence au hasard… voilà celui-là ! – L’objet dont vous ne vous sépariez jamais ? J’avais un set de gommes à effacer qui ressemblait a de la nourriture: sushi, soupe miso, etc. Mes amis se faisait un plaisir de planifier comment les détruire #truefriendship – Votre meilleur souvenir ? Beaucoup trop pour n’en écrire qu’un et c’est une très bonne chose, je me rappelle de mon année comme étant une suite d’événements heureux et de bons souvenirs. Le mot de la fin : votre expression favorite ? « Les gars », bien que la classe soit composée à 100% de filles.

Perle Arteta , SUP’DE COM Promo 2011

Mélina HAKEM une jeune diplômée à Bac+5 Manager de la communication stratégique et digitale, accepte de nous parler de ses années passées à SUP’DE COM Montpellier.] Mélina obtient son diplôme en 2017, année pendant laquelle elle est chargée de communication en alternance à l’IDRAC Business School. A la sortie de l’école, elle est embauchée à Montpellier Events en tant que chargée d’affaires salons. Aujourd’hui elle évolue en tant que commerciale chez SAB International SARL. Elle a accepté de revenir avec nous sur ses années à SUP’DE COM Montpellier. Qu’est-ce que ton passage à Sup’De Com t’a apporté ? La formation à SDC m’a beaucoup apporté, évidemment c’est grâce à elle que j’en suis là. Déjà parce qu’elle est conçue pour insérer les étudiants dans la vie professionnelle au travers des stages et de l’alternance que j’ai pu faire. C’est très professionnalisant, ça nous permet d’avoir un pied dans le monde du travail tout en restant étudiants. D’un autre côté, j’y ai appris à être polyvalente, grâce aux différents cours donnés par des professionnels. Aujourd’hui je peux affirmer que je suis polyvalente en communication, commerce et marketing, vu que j’ai étudié et travaillé dans ces domaines. Donc tu as plusieurs cordes à ton arc… Effectivement ! Aujourd’hui en entretien, on peut voir sur mon CV que j’ai un diplôme en communication stratégique et digitale, mais je peux aussi dire que j’ai des compétences en marketing, en évènementiel, en conception rédaction. Avec la concurrence qu’il y a sur le marché du travail, c’est un gros avantage. peux-tu citer des cours auxquels tu as aimé assister ? Avant tout j’ai beaucoup aimé le cours de conception rédaction, certainement parce qu’à la base c’était quelque chose qui m’intéressait. Après, il y a tous les cours qui touchaient au digital qui me plaisaient beaucoup vu que c ‘est quelque chose d’actuel, nécessaire. Pour finir, en Bac+5 j’ai bien aimé les cours de management parce que ça nous donnait une vision globale, interne et externe du monde de l’entreprise. Pour finir, aurais-tu un conseil que tu voudrais donner à ceux qui sont à ta place actuellement ? Si oui, lequel ? Ah c’est très compliqué là ! Je dirais certainement de persévérer ! J’imagine qu’il doit toujours y avoir beaucoup de projets de groupes, il ne faut pas en être effrayé ou découragé. C’est ce qu’on demandera demain en entreprise, voire plus. On vous demandera d’être opérationnel, de travailler avec d’autres personnes que vous ne connaissez probablement pas. Bonne nouvelle ! C’est ce qu’on apprend à Sup’De Com. Donc persévérez, gardez en tête vos objectifs, dites-vous qu’à la fin vous serez des professionnels, mais n’oubliez pas de profiter et de prendre du plaisir !

Mélina, diplomée Manager de la communication stratégique et digitale

Pouvez-vous m’en dire davantage sur vous ? Bonjour, j’ai 29 ans, je suis Responsable Communication chez PiLeJe. Mariée et jeune maman, je suis aussi une ancienne sportive (cyclisme sur route, au niveau national). Pouvez-vous évoquer avec moi votre parcours professionnel ? J’ai fait un Bac S pour pouvoir intégrer un BTS Diététique (mon projet de l’époque était de travailler dans la nutrition sportive).J’ai obtenu mon BTS en 2007 en pratiquant toujours le cyclisme (titulaire du statut d’athlète de haut niveau espoir, j’avais alors des horaires aménagés pour m’entraîner). J’ai par la suite fait une spécialisation en nutrition du sport à la faculté de médecine de Paris (un Diplôme Universitaire). Après une année consacrée au vélo, j’ai décroché un mi-temps en milieu hospitalier en tant que diététicienne (mon quotidien au travail : consultations, régimes, prise en charge nutritionnelle des patients…). Grâce à des contacts que j’avais dans le sport, j’ai été contactée par hasard par Overstim.s : le leader national en nutrition sportive pour les sports d’endurance. Il recherchait une diététicienne, j’ai passé l’entretien et ai obtenu le poste. C’était une entreprise que je convoitais depuis que j’étais étudiante, j’étais ravie ! Dans cette entreprise, fini les consultations et l’aspect thérapeutique : j’étais « Diététicienne-Conseil ». J’ai donc fait un peu de conseil client, de développement et formations produits mais aussi beaucoup de rédactionnel (newletters et mailings pour les sportifs…). Dans le cadre d’un suivi de conjoint j’ai quitté mon poste et nous nous sommes installés sur Nantes. Retrouver du travail dans la diététique allait s’avérer compliqué (métier bouché, aucun contact sur Nantes, et mon un profil atypique avec cette spécialisation en nutrition sportive…). J’ai donc choisi de reprendre des études de Bac+3 à Master 2 à SUP’ DE COM. A la fin de mon master, j’étais enceinte ce qui m’a permis de me consacrer à ma recherche d’emploi. Très peu de temps après être devenue maman, j’ai décroché un poste de Responsable Communication chez PiLeJe, un laboratoire pharmaceutique qui fait notamment de la nutrition et de la micronutrition. Timing parfait et mission réussie : j’utilise désormais ma double compétence ! Pourquoi avoir choisi la communication ? J’ai choisi d’étudier la communication tout simplement car cela me paraissait évident : j’avais énormément apprécié le monde de l’entreprise (très différent du milieu hospitalier). J’ai également adoré travailler en étroite collaboration avec le service communication chez Overstim.s, j’aime rédiger, je suis de nature curieuse et ouverte… Je me suis également vite aperçue que je pouvais essayer de capitaliser sur une double compétence : nutrition/communication. Pourquoi avoir choisi SUP’ DE COM pour poursuivre vos études ? Quand j’ai repris les études, je pensais ne reprendre que pour un an. SUP’ DE COM proposait une remise à niveau qui me paraissait indispensable au regard de mon cursus initial. J’ai trouvé l’école sérieuse et fiable (notamment le processus de recrutement, rien n’était laissé au hasard). Enfin, j’avais reçu des plaquettes de présentation d’autres écoles mais qui n’étaient vraiment pas qualitatives en comparaison de celle de SUP’ DE COM… A l’époque je n’étais pas encore une professionnelle de la communication mais clairement, ce fut rédhibitoire ! Le Bachelor s’étant très bien passé et la possibilité de faire de l’alternance en master m’ont poussé à continuer en Master. Recommanderiez-vous cette école ? Bien sûr, c’est déjà chose faite puisque je l’ai recommandée à des jeunes de mon entourage ! Quelles sont les principales connaissances, compétences acquises durant vos études qui vous sont le plus utiles en entreprise aujourd’hui ? Le master m’a permis d’être capable de construire une stratégie de communication et de prendre de la hauteur ce qui indispensable dans un poste de Responsable Com’. Il m’a également permis d’avoir un regard stratégique sur l’entreprise. Bref, de se détacher de l’opérationnel et de faire des choix stratégiques. Pourquoi avoir choisi l’alternance ? Conseilleriez-vous ce choix de formation aux étudiants de SUP’ DE COM aujourd’hui ? Oui et à 2000% c’est sûr que le rythme est soutenu et que l’alternance requiert beaucoup d’organisation et de volonté mais une fois diplômé, on arrive sur le marché du travail avec de l’expérience. C’est une vraie valeur ajoutée. Avez-vous quelques conseils à donner à de futurs ou actuels étudiants en alternance ? De rester motivés, le master représente 2 années très denses en termes de travail pro et perso mais qui valent vraiment le coup ! Pour rester motivée je me disais souvent qu’au final j’avais de la chance d’être payée pour aller à l’école ! Car on perçoit un salaire tout en apprenant et en engrangeant de l’expérience… Avez-vous quelques conseils à donner aux entreprises qui souhaiteraient recruter un jeune en alternance ? Je leur dirais qu’il faut foncer car les étudiants apportent des idées fraîches, de la spontanéité et du « sang neuf ». Les deux parties sont gagnantes !

ancienne étudiante, Responsable Communication

Bonjour Axelle, pouvez-vous vous présenter en quelques mots ? Bonjour ! Je m’appelle Axelle Sureau et je suis passée par plusieurs étapes au cours de mes études : DUT Techniques de Commercialisation à Tours, L3 Management International à Angers et je suis actuellement en M1 Marketing Stratégique et Communication à Bordeaux. J’étais attirée par plusieurs domaines et voulais savoir lequel me conviendrait le mieux : Marketing, Commerce International, Communication… Comment avez-vous connu l’école SUP’DE COM ? Je l’ai connue grâce à un salon de l’étudiant. Je suis actuellement en recherche d’une école supérieure de communication pour terminer mes études en alternance. Quel cursus vous intéresse pour la rentrée 2017 ? Le programme 5ème année Manager de la Communication Stratégique et Digitale. Avez-eu connaissance du nouveau campus pour la rentrée 2017 ? Si oui, par quel biais ? Je n’en avais pas eu connaissance à l’avance, étant à Bordeaux j’avais participé aux portes ouvertes de ce campus. Rentrée 2017, le campus SUP’DE COM Nantes déménagera sur l’Île de Nantes et rejoindra 6 autres écoles membres de la collective HEP EDUCATION, alliance volontaire [et sans fusion] d’écoles et de centres de formation autour de 3 valeurs partagées : Humanisme, Entrepreneuriat, Professionnalisme. Qu’est-ce que ces valeurs vous évoquent ? Est-ce important selon vous de mettre celles-ci en avant pour des futurs étudiants ? Pourquoi ? Je trouve que ces valeurs représentent bien le monde professionnel dans lequel nous, étudiants, allons devoir exercer dans les prochaines années. Il est donc important que nous soyons baignés dedans au cours de nos études. Est-ce que cela pourrait être une motivation ou au contraire un frein à intégrer l’école ? Pourquoi ? C’est pour moi une source de motivation, cela prouve que SUP’DE COM sait s’ouvrir vers d’autres partenaires pour faire profiter de la meilleure expérience à ses étudiants. Cette perspective est donc un bon argument pour moi d’intégrer l’école ! Est-ce grâce à ce nouveau campus que vous voulez intégrer l’école ? Et si vous hésitez encore, est-ce une des raisons qui vous pousserez à l’intégrer ? Ce nouveau campus me paraît en effet très attractif, je ne sais pas encore dans quel campus postuler mais celui de Nantes fera sans aucun doute partie de mes options ! Lise MORIN, étudiante SUP’DE COM en Bachelor 3ème année à Nantes

Axelle , 5 ème année Manager de la Communication Stratégique et Digitale

> Bonjour Cécile, peux-tu te présenter rapidement ? Salut ! Cécile, Angevine, titulaire d’un Bac ES et aujourd’hui étudiante en B1 Communication à SUP’DE COM. J’ai choisi de m’orienter vers la communication assez naturellement même si c’est un domaine vaste dont on nous parlait très peu au lycée ! > Pourquoi avoir choisi SUP’DE COM ? Je n’avais pas envie de continuer mes études à la Fac qui selon moi propose des cours trop théoriques. Les métiers de la communication sont basés sur l’expérience et la pratique ; c’est pourquoi je me suis orientée vers une école supérieure de communication. J’ai tenté le concours de SUP’DE COM et j’ai su rapidement que j’étais prise, c’était plutôt sympa ! (rires) > Peux-tu me parler de ta formation Bachelor ? Pourquoi avoir choisi ce cursus ? Qu’apprécies-tu dans ta formation ? J’ai choisi le Bachelor car il me paraissait plus professionnalisant que le BTS Communication, moins « scolaire ». J’ai d’ailleurs hâte de partir en stage en mai prochain ! J’apprécie particulièrement le fait que nos intervenants soient avant tout des professionnels, qui connaissent les réalités des métiers de la communication et qui nous donnent des exemples concrets. Les cours de PAO, de créativité et de psycho-sémiologie me plaisent beaucoup également ! C’est un réel atout selon moi d’avoir des enseignements de PAO, c’est une compétence très recherchée par les entreprises aujourd’hui. Je trouve dommage que nous n’ayons pas de créneaux encadrés pour débattre, échanger autour de la culture de la communication, de l’actualité… Même s’il nous arrive d’évoquer ces sujets dans certains de nos cours. > Quel serait ton job idéal ? Sans prétention, ce serait le métier de Chef de Projet. J’aime l’idée d’avoir une vision d’ensemble, de maîtriser tous les outils vu durant mes cours, de faire un métier qui ne tombe pas dans la routine et aussi l’aspect gestion d’équipe. > Peux-tu évoquer avec nous un moment fort vécut à SUP’DE COM ? Je peux parler du Week-End d’Inté ? (rires) Plus sérieusement je pense que les Open Com constituent un réel point fort du groupe SUP’DE COM. Ce challenge nous a plongé dans le « grand bain » et nous a réellement montré ce que représente le travail d’une agence. Cette expérience m’a beaucoup appris sur moi-même et ma personnalité dans le cadre d’un projet en équipe. > Pratiques-tu des activités extra-scolaire ? Sport, association, hobbies… Je fais du badminton, de la course à pied et du patinage. Et j’aimerais prochainement faire partie d’une association. > Si tu devais te retrouver seule sur une île déserte, qu’emmènerais-tu ? Tu as le droit de choisir 3 objets Un stylo, un livre et une paire de basket.

Cécile, étudiante en 4ème année à SUP’DE COM à Nantes

"> Bonjour Mélanie, peux-tu nous en dire davantage sur toi ? Je suis Mélanie, je vais sur mes 22 ans et j’étudie la communication à SUP’DE COM. J’ai intégré l’école de com’ nantaise à 18 ans, après un Bac ES, pour me lancer dans un BTS Communication. 4 ans plus tard, me voici en Master 1 dans cette même école ! Au niveau professionnel, j’ai choisi de réaliser mes stages / alternances dans des secteurs d’activités diversifiés : une agence évènementielle en première année, une expérience tournée vers le social / médecine en tant qu’assistante de communication l’année suivante, pour enchaîner en troisième année dans une entreprise sportive, puis cette année dans le créneau de la livraison. La diversification des expériences n’a fait que confirmer mon attrait pour le secteur sportif. > Pourquoi avoir choisi SUP’DE COM ? Après le BAC, mon objectif était de découvrir l’aspect stratégique de la communication. Aspect que couvrait très largement SUP’ DE COM, qui offrait une formation générale, tout en abordant les spécificités du secteur. Mon choix de métier n’étant pas arrêté en première année, je souhaitais avant tout m’imprégner de toutes les facettes possibles. SUP’ DE COM avait également l’avantage de proposer des formations professionalisantes grâce à l’alternance dès la troisième année. Au delà de ça, mon entrée à l’école s’est faite assez instinctivement à la suite des portes ouvertes. L’ambiance conviviale et la proximité m’ont séduite. > Pourquoi avoir choisi un parcours en alternance ? Pour moi, l’alternance est primordiale pour compléter une formation. Les cours apportent beaucoup, mais l’alternance permet d’appliquer les notions vues et surtout, de les appliquer concrètement et d’en voir les réussites / échecs. Je pense que bénéficier d’expériences au sein de diverses entreprises est une force pour plus tard, grâce à un acquis de savoir faire et également de savoir être. Aussi, étant donné que le BTS était une formation en initial, être en alternance en troisième année était une façon de se plonger davantage dans la vie active. > Parle moi un peu de Shopopop, rappel du concept, aujourd’hui où en est l’entreprise ? Si vous connaissez Blablacar, il vous suffit de l’adapter au monde de la livraison pour comprendre le concept de Shopopop ! En quelques mots, Shopopop est une start-up de livraison de courses entre particuliers. Elle met en relation des particuliers souhaitant se faire livrer à domicile un/des biens achetés sur le web avec une communauté de livreurs souhaitant optimiser et amortir leurs trajets quotidiens. C’est un service gagnant / gagnant pour le livreur bénéficiant d’une gratification, et pour la personne livrée qui économise du temps, de l’argent et du stress ! Aujourd’hui, le service est ouvert, avec une application lancée courant février 2016, permettant au shopper (livreur) de visualiser les commandes près de lui et de les livrer directement au particulier. Les partenariats se développent de plus en plus avec différents commerces nantais, afin de proposer des commandes diversifiées (cosmétique, nourriture, bricolage, bijoux…) > Quel poste occupes-tu et quelles sont tes missions au sein de ton entreprise ? Je suis chargée de communication à Shopopop. Mes missions concernent le web, avec l’animation des différents réseaux sociaux ( Facebook, Twitter et les réseaux professionnels), ainsi que la rédaction et l’envoi de la newsletter hebdomadaire. Bientôt, mon autre mission web sera de recueillir des interviews (shoppers, professionnels du e-commerce…) pour alimenter le nouveau blog. Egalement, je me charge de la conception des supports de communication et de l’organisation de certains évènements. > Peux-tu évoquer avec moi un moment fort vécu en entreprise ? Si je devais citer un moment fort, je pense que la sortie de l’application courant février serait en tête de liste. Sa sortie signifiait le début du service, l’arrivée concrète de Shopopop sur Nantes."

Mélanie, en 4ème anné, raconte son alternance

> Bonjour Rhita, peux-tu m’en dire davantage sur toi ? Salut ! Je suis en 4e année Communication en alternance dans une agence immobilière sur Nantes en tant que Responsable Communication. Je m’occupe ainsi de toute la stratégie opérationnelle et stratégique de l’agence. J’ai également effectué mon BTS Communication et mon Bachelor Communication au sein du campus de Nantes. > Pourquoi avoir choisi la communication ? Pourquoi SUP’DE COM ? J’ai choisi SUP’DE COM car la formation proposée me plaisait, paraissait sérieuse et on m’avait dit du bien de l’école ! J’ai été ravie de découvrir par la suite durant mes périodes en entreprise que les apports théoriques des formations de SUP’DE COM étaient facilement applicables. > Peux-tu évoquer avec moi ton parcours en alternance ? Recommanderais-tu cette formation ? Quel conseil donnerais-tu à de futurs étudiants choisissant cette voie ? Oui bien sûr que je recommanderais cette formation ! A partir d’un certain niveau d’étude il devient essentiel d’acquérir une expérience pro et c’est ce que cherchent les entreprises. A titre personnel, je déteste m’ennuyer ! L’alternance me permet de jongler entre études et monde professionnel, et surtout d’apprendre les réalités du métier. Je trouve que cette formation est complète, mêlant expériences professionnelles et cours. Le conseil que je donnerais serait le suivant : soyez bien organisés et n’ayez pas peur face à la quantité de travail et l’investissement que représente cette formation, ça vaut le coup ! > Peux-tu évoquer avec moi un moment fort vécut à SUP’DE COM ? L’obtention de mon BTS Com ! C’est la première fois que je n’étais pas sereine lors d’un examen et le jour des résultats je travaillais et n’avais pas le doit d’être connectée à la plateforme. J’ai dû me cacher pour regarder les résultats ! (rire) > Pratiques-tu des activités extra-scolaires ? Hobbies, passions, sport… Je fais du karaté en compétition depuis 13 ans. Il y a 2 ans, après un arrêt suite à une blessure je suis sacrée vice-championne de France ! J’ai par la suite intégré un club d’élite et depuis nous montons sur tous les podiums nationaux. > Quels sont les apports du sport pour tes études ? Ma famille est très sportive, mon frère est athlète de haut niveau en athlétisme et ma sœur en karaté comme moi. Le sport m’a permis de développer mon esprit de compétition mais aussi d’être capable de me fixer des objectifs, d’être lucide face à ceux-ci et me dépasser pour les atteindre. Je pense pouvoir dire que j’ai développé ma capacité d’autodépassement grâce au sport ! > Peux-tu évoquer avec moi un moment fort vécut dans le cadre de ton sport ? Il y en a tellement ! Je pense que le plus fort a été cette année lors de la Coupe de France nous n’avons pas gagné mais j’ai ressenti un esprit d’équipe vraiment très fort ! > Quel serait ton job idéal ? J’ai pour ambition de combiner sport et communication en ouvrant une agence de sponsoring pour les sportifs. L’objectif sera alors de mettre en relation les clubs, les sportifs d’élites avec les entreprises. > Si tu devais te retrouver coincée seule sur une île déserte, qu’emmènerais-tu ? Tu as le droit de choisir 3 objets. Une bouteille d’eau, une photo de ma famille et une grande valise de nourriture !

Rhita Zaoujal, , étudiante en 4ème année à SUP’DE COM à Nantes