Témoignages Témoignages de l'Équipe

Témoignages de l'Équipe
"Quel a été votre parcours ? Je suis un ancien journaliste. Pendant dix ans, j’ai été témoin des grands événements de l’actualité nationale et internationale. J’ai couvert différents secteurs : économie, social, politique, justice…sur différents supports de la fin des années 90 aux premières années 2000. Depuis près de 5 ans, dans le prolongement de mon ancien métier, j’accompagne les entreprises dans leurs relations avec la presse. Quelles matières enseignez-vous ? J’interviens cette année sur les modules en communication responsable et en communication des ONG notamment. Quel est le portrait de l’étudiant de SUP’ DE COM ? C’est un jeune qui est bien formé. Les cours qui lui sont donnés lui permettent d’être opérationnel immédiatement. Qu’appréciez-vous à SUP DE COM ? La rigueur et l’exigence de l’équipe pédagogique. Mais également, la dimension et l’esprit humain et convivial."

Olivier DOUSSOT, intervenant à SUP DE COM

Vous êtes le Président du BDE GENESIS, à SUP’DE COM Paris, pouvez-vous vous présenter rapidement ? Je m’appelle Thomas ACHOR, et je suis en 4ème de Marketing et Gestion des Entreprises (dominante MPME – Management des Petites et Moyennes Entreprises) à Paris. Après mon Baccalauréat Economique, j’ai obtenu un BTS MUC, en initial, à l’IDRAC. Quand M. POULETTY, Responsable du pôle associatif de l’école, nous a parlé des futures élections du BDE, pour moi, il n’a pas été directement question d’occuper un rôle important au sein de cette association. L’essentiel était d’abord de constituer une équipe solide, efficace et soudée. C’est ensuite avec le temps et avec simplicité, que chacun a choisi son poste, en fonction de son caractère. Naturellement je me suis proposé pour être le Président et j’ai été nommé comme tel ! Depuis, c’est tous les jours et avec plaisir que je relève ce défi. Grâce à cette « mission », j’ai appris rapidement à m’organiser avec mon équipe, j’ai découvert la réelle importance de déléguer, et aussi le rôle primordial que joue le relationnel. Ce qui me satisfait le plus est de voir grandir mon école, de la faire évoluer, changer, prendre de la valeur et être acteur de ce tournant majeur. Comment vous et votre équipe, vous êtes vous organisés, au sein du BDE, pour la semaine d’intégration ? Dès le début de l’année, nous avions un objectif commun : souder les classes entre elles. La semaine d’intégration nous est alors apparue comme une évidence. Evénements de cette semaine d’intégration : le pot d’intégration, organisé dans les locaux de l’école de 17h à 20H30, l’occasion pour les étudiants de lier leurs 1ères amitiés la journée d’intégration façon « chasse aux trésors », destinée principalement aux étudiants qui intègrent l’école la Nuit de L’IDRAC, soirée au sein même de l’école, de 23h à 5h du matin. Le grand hall du rez-de-chaussée s’est transformé, pour l’occasion, en une immense boîte de nuit. Succès incontesté ! le « week-end d’inté », qui se révèle être la consécration de cette semaine d’intégration. Deux jours et demi du vendredi au dimanche où la fête n’a pas cessé à Beg Meil (Finistère). Un lourd programme événementiel à mettre en place et qui a rencontré tout le succès attendu ! Quel bilan pouvez-vous en faire ? La semaine d’intégration a été réellement une réussite puisque tous les projets ont été menés à bien. Sur une dizaine de jours, nous avons enchainé les événements, ce qui demandait une organisation parfaitement huilée et un investissement régulier. La plus belle récompense pour nous, membres du BDE, a été de recevoir de nombreux retours positifs de la part des étudiants, sur cette semaine.Bien sur, nous avons quelques points d’amélioration sur lesquels nous accentuerons nos efforts pour les projets à venir. Par exemple, une meilleure communication au sein du groupe est vitale, notamment concernant la remontée d’informations. Quels sont les événements à venir organisés par le BDE ? Les prochains évènements prévus sont : le gala de l’école précédé de la remise des diplômes la semaine et le week-end au ski des voyages en Europe la soirée de la Saint Valentin plusieurs after-work dans divers lieux parisiens les soirées au Duplex et au Palais Maillot tous les vendredi soirs. La vie associative est-elle TRES développée au sein de SUP’DE COM ? La vie associative se met en place au fil de cette année scolaire. Aujourd’hui 11 associations ont vu le jour : le Bureau Des Sports, le Bureau Des Arts, l’Association Média, l’Association Mode et Luxe, l’Association High-Tech, l’AssociationCafeteria, l’Association Humanitaire, l’Association Bourse et Finance, l’Association Internationale, l’Association Vins et Gastronomie et l’Association Entreprise. Chaque jeudi, les étudiants consacrent leur après-midi pour le développement de ces associations.

Thomas ACHOR, Président du BDE GENESIS de SUP’DE COM

Jérôme TRONC est à la fois professeur et coordinateur de la vie associative à SUP’ DE COM. Il revient sur cette dernière fonction qu’il occupe depuis un an. Bilan de l’année écoulée, objectifs, ambitions pour l’année qui arrive, tour d’horizon. Bonjour Jérôme, les vacances sont terminées, vous voici à nouveau d’attaque pour une nouvelle année, dans quel état d’esprit abordez vous la rentrée? Faire plus, faire mieux ! (rires) Non plus sérieusement, l’exercice précédent a été positif. Les projets qui ont vu le jour ont été bien perçus par l’ensemble des étudiants. D’ailleurs les chiffres parlent d’eux même et confirment la tendance : 90% des étudiants ont déclaré être satisfaits de l’associatif à l’école, alors qu’ils n’étaient que 48% il y a deux ans. Cela dit, nous avons encore du travail à faire pour que plus d’étudiants participent activement et régulièrement à ces associations. Vous occupez, en plus du poste de professeur, celui de coordinateur de la Vie associative de l’école, dîtes nous en plus sur cette fonction, en quoi consiste t elle ? En effet, je suis responsable de la vie associative de SUP’ DE COM, je coordonne et guide les projets associatifs qui permettent aux étudiants de devenir acteurs de leur formation au sein de l’école.Je chapeaute, conseille et coordonnes nos différents pôles associatifs : BDE, BDE, junior entreprise, humanitaire, projets individuels etc. Mon rôle est de faire en sorte que la vie associative soit au cœur de leur cursus scolaire et en devienne un tremplin vers l’insertion professionnelle. Quels sont les grands axes de cette nouvelle année ? Des objectifs à atteindre ? Au-delà du succès rencontré l’an passé, nous nous trouvons devant une problématique : la pérennisation des clubs ou autres associations, par le fait des départs d’étudiants qui les animaient, comme par exemple le Club karaté (ndlr : Steve Hocine, champion de karaté, diplômé du Master 2, a quitté l’école). De plus, mis à part quelques exceptions, la fréquentation des associations qui demandent une participation hebdomadaire a tendance à chuter en 2ème partie d’année. Pour toutes ces raisons, nous allons orienter le projet associatif vers des projets plus ponctuels, en « one shot », comme nous l’avions fait avec par exemple l’initiation golf qui avait été une vraie réussite. Bien entendu, si un étudiant désire créer un club avec des rendez vous réguliers, il pourra le faire. La tendance va être également à la diversification de ces activités, car l’an dernier une dominante sportive s’était tout de même installée. Beaucoup d’activités culturelles devraient voir le jour. D’ailleurs la première nouveauté de la rentrée va être la mise en place d’un atelier d’improvisation théâtrale. Nous travaillons également sur un projet autour de l’œnologie. La prochaine date importante est la 2ème édition du Carrefour des Associations, Mardi 16 Octobre, pouvez vous nous expliquer en quoi cela va consister ? L’idée est que chaque étudiant porteur d’un projet vienne le présenter, l’expliquer à ses camarades, et recruter des personnes qui seront intéressées par l’idée. On va être en quelque sorte à la recherche des nouveaux talents de notre belle école. Par exemple l’an dernier le Club Musique et Chant s’est construit suite au Carrefour des Associations : un étudiant guitariste avait proposé de donner des cours puis au fur et à mesure d’autres étudiants musiciens et chanteurs ont décidé d’intégrer le Club. Nous espérons que cette année d’autres clubs suivront cet exemple. Les associations dîtes institutionnelles de SUP’ DE COM seront-elles également présentées ? Oui bien entendu, les équipes du BDE (Bureau des Etudiants), BDS (Bureau des Sports) et de Becom seront également de la partie, je crois même que certaines d’entre elles sont encore à la recherche de profils pour compléter leur équipe ! Cela va être une sorte de Mercato de l’associatif pour eux (rires). Alors rendez vous le 16 Octobre à partir de 12h pour ce Carrefour des Associations !Oui ! A noter le prochain rendez vous, une sortie canoë fin Septembre organisé par le BDS ! Merci Jérôme, nous vous souhaitons une bonne rentrée et plein de réussite avec vos étudiants qui vont à n’en pas douter animer la vie de SUP’DE COM !

Jérôme TRONC, professeur et coordinateur de la vie associative à SUPDE'COM

« Je travaille dans le milieu de la communication depuis près de 30 ans. Le métier a été totalement impacté par les nouvelles technologies. Les moyens de communication et la nature des besoins des clients ont radicalement changé. C’est pourquoi j’ai souhaité valoriser et faire le point de mes compétences acquises durant ces années par mon expérience professionnelle et la labelliser auprès de mes clients par un diplôme (Bachelor Responsable de communication) afin de me rassurer dans mon quotidien de direction d’une agence de communication. Je me suis rapproché de SUP’DE COM pour concrétiser mon projet de VAE. Dès les premiers contacts, j’ai ressenti un grand professionnalisme dans le discours et surtout une grande connaissance de la réalité « terrain ». L’accompagnement dont j’ai bénéficié durant l’écriture de mon livret a été très professionnel et je recommande vivement cette formation aux personnes souhaitant évoluer dans une carrière de Responsable de communication. Un grand merci à toute l’équipe de la formation continue de SUP’DE COM. »

la VAE à SUP’DE COM,

"Rémi Malaval, fondateur de l’entreprise Post-Scriptum dans laquelle il met à profit depuis plus de 15 ans ses compétences de graphiste/webmaster, est également intervenant à SUP’DE COM depuis 2009. Il dispense des formations autour des logiciels de PAO et du Web auprès des étudiants de la 1ère à la 5ème année sur le campus de Montpellier. M. Malaval pouvez-vous nous présenter les compétences développées par les étudiants sur les logiciels de PAO ? « Ils apprennent à travailler sur les principaux logiciels de la chaine graphique : Photoshop, Illustrator et InDesign. L’objectif est de leur faire acquérir des compétences techniques ainsi qu’une culture graphique dans les domaines print et web fondamentales pour leur futur métier de communicant. » Vous intervenez également sur un module « projet Web » en quoi cela consiste-t-il ? « Ce module permet aux étudiants de travailler sur un projet complet de création de site web :brief avec le client, mise en place du cahier des charges, création de la charte graphique et enfin développement technique du site avec le cms WordPress. Les sites une fois finalisés seront mis en ligne par leurs commanditaires respectifs. C’est un projet très concret qui permet aux étudiants d’appréhender la relation avec les clients et de travailler sur la réalisation complète d’un projet web. » Quels sont les projets pédagogiques qui rythment ces deux modules de formation ? « En dehors des travaux réalisés en cours (CV papier et numérique, flyer, affiche, retouche photo, création de logo,…), on s’appuie sur les projets proposés par SUP’DE COM : Affiche d’Or, Open’ Com… Les cours arrivent aussi en support technique aux différents projets coordonnés par d’autres enseignants (stratégie de com, communication visuelle,…) et à partir de la 3ème année sur leur projet de gestion d’agence, ou dans le cadre de l’option conception rédaction. » Quelques mots sur SUP’DE COM ? « Je dirais d’abord que l’école offre de bonnes conditions de travail aussi bien au niveau des équipements que pédagogique. Mais surtout, les programmes me permettent de suivre les étudiants de la première à la cinquième année et ainsi de voir leur évolution. C’est également intéressant pour moi, en tant que graphiste, de former des responsables communication ; ça nous permet de mieux nous comprendre et de connaitre nos contraintes respectives lorsqu’il nous arrive de nous retrouver plus tard, quand ils sont en poste en entreprise ! »"

Rémi Malaval, Fondateur de Post-Scriptum & intervenant sur le campus de Montpellier